
Hello les Frenchies ! Aujourd’hui, on se retrouve enfin pour la suite de mon récit d’accouchement. Et si après avoir lu la partie 1, vous pensiez que les mésaventures étaient terminées… Spoiler alert, il n’en est rien ! Dans cette partie 2, je vais donc vous partager en détails mon accouchement par césarienne, la réanimation pédiatrique pour Malo, la sortie de maternité incertaine et le post accouchement : pour quelle raison suis-je passée de césarienne programmée à césarienne d’urgence ? Comment s’est déroulé l’opération par rachisanesthésie ? Comment avons-nous vécu les premiers jours avec bébé à la maternité ? Mais avant, préparez-vous une boisson chaude (ou fraîche, au vu des températures ahah) car ça va être long. Bonne lecture !
Récit de mon accouchement – Partie 2
Infection et accouchement par césarienne d’urgence
Vendredi 27 décembre, 7h50. Comme à mon habitude, je me réveille et ouvre les volets de ma chambre. Il y a un grand soleil dehors. Je prends mon petit déjeuner tranquillement. À ce moment là, je réalise qu’il ne me reste plus qu’une semaine avant la naissance de bébé. En effet, ma césarienne ayant été programmée pour le vendredi 03 Janvier 2025. Je suis déjà nostalgique de sentir ses petits coups dans mon ventre. Et je ne pensais pas si bien dire…
11h30. Je me pose devant le film « À contre sens 2 », tout en répondant à mes DM sur Instagram. Je commence à me sentir patraque mais je n’y fais que peu attention. Arrive le moment du déjeuner, je n’ai aucun appétit. Je commence à trouver cela un peu bizarre. J’ai l’impression d’avoir un peu de fièvre. Le soleil tape fort dans ma chambre, je pense alors avoir juste un coup de chaud. Je décide de ne pas m’alerter et de me reposer en faisant une sieste. Déjà moi faire une sieste, en temps normal, jamais ! Au final, c’était bien la preuve que quelque chose clochait ahah.
15h00. Ça ne va pas mieux du tout. En plus de cette sensation de fièvre, j’ai des courbatures et des frissons. Je pense à un état grippal. Cela m’arrive souvent, et sous cette forme. La sage femme arrive. Je lui fais donc part de mon état de santé qui me préoccupe. Elle prend ma température : 38,4°C. Bon, il s’avère que j’ai plus de fièvre que ce que je ne pensais. Sur le moment, on pense à la grippe ou le c-19.
Ensuite, je réalise une batterie d’examens : test PCR, prise de sang, prélèvement urinaire et vaginal. Elle me pose le monito que je vais finalement garder 3h contre les 30 minutes habituelles. La raison ? Le coeur de bébé est dans la moyenne, mais à la limite et surtout il bat plus vite que lors des précédents monitos. Un éventuel accouchement dans les prochains jours commence à se dessiner, selon si cela s’aggrave et/ou en fonction des résultats d’analyse.
De son côté, Jordan est en congés depuis 2 jours. Ce jour-là, il avait prévu de venir un peu plus tard que d’habitude à la maternité. Je lui tiens informée de mon état mais il ne s’inquiète pas plus que ça. Il m’envoie un sms pour me dire qu’il part de la maison. Et là, j’ai le réflexe de lui demander s’il a bien pris son « baluchon » a.k.a ses affaires en cas d’accouchement. Figurez-vous que je ne lui rappelle jamais mais là, j’ai ressenti le besoin de le faire. Bingo ! Il l’avait bien évidemment oublié.
16h00. Jordan arrive à la maternité. À peine a-t-il passé le pas de la porte que je lui dis direct : « j’accouche ce soir, j’en suis certaine ». Il me prend rapidement au sérieux car il sait que mes intuitions sont toujours bonnes. Je me trompe rarement. Pourtant, rien n’est encore confirmé à ce moment là. Mais je le sais/sens.
18h00. Vient l’arrivée de contractions. Le liquide amniotique que je perds devient rose. Au vu de mon stade de grossesse (36SA+3), ma fissure de la poche des eaux depuis 10 jours ainsi que le rythme cardiaque élevé de bébé, il est préférable de sortir bébé aujourd’hui, dans la soirée. Une infection est suspectée. Je pars prendre une douche. Mes contractions disparaissent instantanément. Tout le monde s’affaire dans ma chambre. Je suis branchée de partout : perfusion, oxygène dans le nez, monito.
Le gynécologue de garde débarque dans la chambre. Je ne le connais pas. Ce qui ne me réjouit guère dans un premier temps, d’autant plus que c’est un homme. Toutefois, les choses sont finalement bien faites puisque je n’ai pas du tout eu le feeling avec la gynécologue que j’avais choisi pour mon suivi à la maternité, à partir du 8ème mois de grossesse. Au final, petit spoiler, il a été incroyable. Je suis tellement heureuse qu’il se soit occupé de mon accouchement par césarienne.
Très gentiment et calmement, il se présente et m’explique que c’est donc lui qui va s’occuper de mon accouchement et réaliser une césarienne d’urgence au vu de la situation. Avec Jordan, nous n’avons pas le temps de vraiment réaliser qu’il faut déjà y aller. Étant hospitalisée depuis 10 jours, on savait que cela pouvait arriver à tout moment. Cependant, trois jours plus tôt, on me programmait ma césarienne et là, me revoilà à nouveau dans le chamboulement le plus total.
19h20 – Direction le secteur Naissances. Toute l’équipe qui va s’occuper de mon accouchement se présente. On me prépare pour aller au bloc opératoire. Tout s’enchaîne vraiment encore très vite. Un bisou volé à Jordan et hop, c’est parti…
Petit disclaimer avant de lire la suite : rappelez-vous bien qu’il s’agit de MON récit d’accouchement. L’idée n’est pas de vous faire paniquer mais pas non plus d’enjoliver la réalité. Si vous êtes sensible sur ce sujet ou si vous allez bientôt accoucher et que cela vous angoisse, ne lisez peut-être pas ce qui va suivre ou alors gardez en tête que chaque accouchement est unique. La clé, c’est d’être préparée au mieux à toute situation et d’être bien informée.
À ce moment là, démarre la demie-heure la plus longue et douloureuse de ma vie : la pose de la rachianesthésie. De base, ce n’était pas du tout une chose que j’appréhendais. Du coup, j’ai littéralement déchantée. L’anesthésiste fait une dizaine de tentatives (c’est si long et si douloureux que je dois peut-être exagéré sur le nombre de tentatives). En effet, d’après lui, mon dos est « impicable ». En 20 ans de carrière, il n’a jamais vu ça. Il ne comprend pas, moi non plus. Je crie de douleurs à chaque tentative car cela me provoque une décharge électrique insoutenable (mais genre vraiment) dans la jambe gauche. Je sursaute à chaque essai. L’équipe tente de me rassurer. J’ai vraiment apprécié la bienveillance de l’équipe car vraiment, j’étais au bout de ma vie.
Durant la grossesse, j’ai le syndrome du canal carpien qui s’est développé. Avec la pose du cathéter + la prise de tension qui se déclenche toutes les 5 minutes, mes doigts de la main droite ont triplé de volume. Je ne sens quasiment plus ma main. C’est insoutenable. À ce moment là, je commence à perdre mes moyens. Chose impossible quand on me connait. C’est que vraiment je suis au bout du bout. En effet, j’étais déjà épuisée – avant l’intervention – par la fièvre et les courbatures, il me reste donc très peu de force.
L’anesthésiste tente une ultime tentative avant l’anesthésie générale. En effet, il essaye au maximum afin d’éviter ce cas de figure, qui n’est pas l’idéal bien que nécessaire le cas échéant. Et là, miracle ! Cela fonctionne. Du coup, je peux vous dire que niveau douleurs, c’est largement supportable. Rien à voir par rapport aux précédentes tentatives échouées. Le produit fait effet rapidement. L’équipe m’aide à m’allonger et c’est parti, il prépare le champ opératoire. Une fois tout installé, Jordan me rejoint. Il se place au niveau de ma tête.
Le gynécologue explique tout ce qu’il fait durant la césarienne, ce qui a un côté rassurant. De mon côté, je ne ressens aucune douleur mais, chose à laquelle je ne m’attendais pas, je garde la sensation du toucher. Par conséquent, je sens littéralement qu’on trifouille à l’intérieur de mon ventre. Je sais que certaines ont été un peu traumatisé par cela. Personnellement, non. Dans un premier temps, j’ai trouvé cela étrange et déroutant. Dans un second temps, j’ai eu l’impression que cela me permettait de « vivre » un peu mon accouchement.
15 minutes plus tard, à 20h55, Malo naît. Il m’est rapidement présenté. Je lui fais un bref petit bisou sur le front. Il est embarqué par l’équipe médicale. 5 minutes plus tard, Jordan rejoint Malo. Pendant ce temps, je suis recousue par le gynécologue pendant 25/30 minutes. À ce moment précis, je plane complet, je suis détendue mais je ne réalise pas du tout.
Prématurité, réanimation néonat et post accouchement
En sortant du bloc, je rejoins Jordan qui est avec Malo. Nos regards se croisent. Instantanément, nos yeux deviennent humides. À ce moment là, on réalise l’un l’autre que ça y est, nous sommes parents. Avant d’être emmenée en salle de réveil, j’ai la possibilité de faire du peau à peau. C’est peu certes mais précieux. Je n’oublierais jamais ce moment. J’étais encore complètement sonnée mais aussi émerveillée et impressionnée (presque intimidée) devant ce petit être si minuscule. Puis, retour à la réalité, direction la salle de réveil où je suis placée sous surveillance afin de contrôler que je retrouve bien la mobilité sur le bas de mon corps endormi par la rachisanesthésie. J’y reste environ 1H30. Je regarde constamment l’horloge, il me tarde de retrouver mon bébé. Durant l’attente, je continue de réaliser tout ce qui s’est passé.
23h00 – Sur un brancard, on me remonte en chambre. Immédiatement, je demande à avoir mon bébé posé sur moi pour faire du peau à peau. Pendant une heure, je suis sur mon petit nuage. Fort heureusement que j’ai profité de ce moment car peu après avoir posé Malo, je commence à vomir. Malgré les efforts répétées de l’infirmière pour m’administrer des médicaments (en lien avec l’anesthésiste) afin de me soulager, rien n’y fait. Il semblerait que je ne supporte pas la morphine. Impossible de fermer l’oeil, j’ai vomi quasiment toute la nuit. De plus, avec les agrafes, j’avais littéralement peur que ma cicatrice se réouvre puisque cela me faisait contracter le ventre. Sur la fin, je n’avais même plus rien à vomir. C’était un peu le pompon sur le Garonne, je vous avoue. Finalement, je tombe de fatigue et réussis à dormir 2 petites heures.
À mon réveil, je pense être soulagée. Que nenni ! J’ai toujours envie de vomir. C’est moins fort mais toujours présent. Je me force à manger, car je sais que c’est la seule solution pour me soulager cette nausée constante.
Samedi 28 janvier 2024, 9h30 – Je vais mieux. Bien évidemment, j’ai interdiction de me lever, je dois porter mes bas de contention et j’ai toujours ma sonde urinaire. Au moment où je me sens capable de reprendre Malo dans mes bras, la pédiatre vient dans ma chambre. Elle nous explique qu’étant prématuré, Malo a été placé dans un berceau chauffant afin de l’aider à augmenter sa température. Elle nous annonce également qu’elle l’embarque avec elle durant la matinée afin de lui faire une batterie d’examens. Jordan part avec eux puisque je ne peux pas. Malheureusement, je ne m’attendais pas à ce qui va suivre…
13h00 – Les heures passent, toujours aucun signe de Malo. Forcément, l’impatience commence à me gagner. En effet, avec mon état, je n’avais pas pu faire de peau à peau au réveil. Jordan revient sans trop me dire quoique ce soit. Finalement, la pédiatre arrive. Je comprends à sa tête que ça sent la mauvaise nouvelle.
Mon coeur s’emballe. Elle nous explique que son état général n’est pas très bon. L’infection le fatigue énormément. Sa tension et température sont basses. Par précaution, elle préfère l’envoyer en réanimation pédiatrique à l’hôpital de Purpan afin qu’il soit sous étroite surveillance.
14h00 – Je suis placée dans un fauteuil afin de rejoindre Malo avant son départ pour Purpan. On arrive dans la salle. Le SMUR est déjà là. Malo est branché de partout et placé dans une couveuse. C’est assez impressionnant. Là, je m’effondre. C’est trop dur pour mon petit coeur de maman de le voir partir sans moi, à même pas 1 jour de vie.
De retour en chambre, je manifeste le souhait d’aller voir mon fils à Purpan. Quelques minutes plus tard, une gynécologue passe me voir en chambre. Elle m’explique que pour obtenir une autorisation de sortie, je dois impérativement uriner par moi-même. Autant dire que là, j’ai toute la détermination du monde. 1h30 minutes plus tard, je réussis à aller uriner. Je dois tout de même attendre le passage de la sage femme pour vérifier mon état avant de partir. Difficilement mais sûrement, je monte dans ma voiture… Jordan au volant, direction Purpan. Je peine à me déplacer. Je suis pliée en deux. J’ai mal partout et la cicatrice de ma césarienne tire. Chaque pas n’est que douleur mais savoir Malo sans moi, c’était ça ma véritable souffrance.
18h00 – Arrivés dans le service, on nous emmène auprès de notre fils. Il a été placé dans une petite chambre individuelle. Premier soulagement, malgré qu’il soit toujours branché de partout, il semble aller bien. Nous restons auprès de lui pendant une heure. Bien évidemment, je le prends dans mes bras. Malheureusement, il faut déjà rentrer car je dois être de retour pour le dîner et mes soins. On part le coeur encore lourd mais soulagés de constater qu’il est parfaitement pris en charge par le personnel de l’hôpital qui est aux petits soins pour lui.
De retour à la clinique, je me retrouve toute seule dans cette chambre que je ne connais que trop bien depuis 10 jours. En effet, Jordan n’a pas souhaité rester. Il est donc rentré à la maison. Chaque mouvement est compliqué. Je met parfois jusqu’à une heure pour réussir à sortir de mon lit pour aller aux toilettes. Un conseil, ne faites pas comme moi, osez demander de l’aide au personnel soignant. Ils sont là pour ça. En tout cas, le post césarienne, ce n’est pas pour blaguer. Il faut bien s’y préparer. Et même quand c’est le cas, cela reste très difficile je trouve.
21h00 – L’infirmier me fait ma piqûre d’anticoagulant. Une horreur ce truc. Pourquoi personne n’en parle ? Personnellement, je les ai mieux supporté dans le ventre que dans les cuisses. Alors, n’hésitez pas à préciser votre préférence à l’infirmier(e). Puis, on me pose la perfusion pour soigner mon infection. À ce moment là, j’ai qu’une hâte : que cela se termine que je puisse aller me coucher. Malheureusement, je fais une veinite. Il faut donc reposer le cathéter. J’ai l’habitude, c’est comme pour les prises de sang, c’est toujours une galère sur moi.
00h00 – Les soins terminés, je peux enfin aller dormir.
Dimanche 29 décembre, 07h30 – Malgré tout, je passe plutôt une bonne nuit. Je prends mon petit déjeuner tout en attendant des nouvelles de Malo.
09h30 – On vient m’annoncer qu’il vient d’arriver à la clinique et qu’on me l’emmène d’ici 10 minutes. Mon coeur bat la chamade. Je trépigne de patience. Et là, je vois mon tout petit arrivé. Je le prends directement en peau à peau. Et à cet instant, je me sens enfin complète. Malo est à mes côtés. Jordan arrive quasiment en même temps.
Le reste du séjour à la maternité se passe bien et est ponctué par les soins réguliers pour nous soigner Malo et moi. Ce n’est pas un mythe, ça défile constamment dans la chambre, soit pour maman, soit pour le bébé ahah. Les nuits sont courtes; rythmées par les biberons et changes de bébé. C’est principalement Jordan qui s’en occupe. Je l’assiste en soutien mais je ne suis pas en mesure de faire grand chose. Rien que sortir d’une lit est une épreuve. Après avoir fêté Noël, c’est au tour du Nouvel An : un drôle de 31 décembre dont je me souviendrais toute ma vie ! Il est loin le temps des cuites un soir de réveillon ahah. Mais je kiffe quand même, mon bébé est avec moi et je mange un bon plateau de fromages !
Côté santé, pendant quelques jours, ils surveillent les constantes de Malo. Il est donc branché à une machine qui bipe souvent, car les capteurs tiennent mal sur bébé. C’est un peu anxiogène mais encore une fois, le personnel est très rassurant bienveillant et à l’écoute. Malo a également le droit à sa petite séance d’UV car il avait une très légère jaunisse. On fait un max de peau à peau. Malheureusement, il peine à maintenir la température et à reprendre du poids. ll reste donc en berceau chauffant quasiment tout le séjour. L’infection lui prend beaucoup trop d’énergie.
Jeudi 02 janvier 2025, bien que les douleurs soient toujours présentes, je me remets plutôt bien de ma césarienne. La cicatrice est impeccable. Aucune complication post accouchement a déclaré. Par conséquent, j’ai l’autorisation de sortir. En revanche, pour Malo, c’est une toute autre histoire. Cela va dépendre si il a atteint l’objectif de reprise de poids fixé par la pédiatre. Et malheureusement, son poids est stable mais n’a pas encore suffisamment augmenté pour elle. Elle nous donne donc un jour supplémentaire pour voir. Un nouveau coup dur !
Le lendemain, vendredi 03 janvier, jour initial de ma césarienne programmée. Au final, cela fait déjà une semaine que j’ai accouché par césarienne d’urgence. Le seul avantage d’être restée une journée de plus, c’est que j’ai pu avoir le retrait de mes agrafes. De bon matin, la sage-femme me mes enlève donc une à une. Apparemment, j’en ai beaucoup. Ce qui d’après elle, n’est pas une mauvaise chose car cela aide à la bonne cicatrisation. Honnêtement, cela m’a un peu picoté/chatouillé mais ce n’est absolument pas douloureux.
Puis vint le verdict pour Malo, la pédiatre le pèse. Malgré une prise de poids, elle émet encore des réserves. Toutefois, au vu du contexte – cela faisait 18 jours que j’étais à la maternité dont une semaine post accouchement – elle a accepté de nous laisser sortir sous conditions : visite de notre sage-femme à domicile le samedi et le lundi pour le suivi de son état général (et surtout la pesée), puis rendez-vous avec notre médecin traitant les jours suivants. Et enfin, étant prématuré, la procédure veut que la maternité contacte la PMI. Nous avons donc également fixé rendez-vous à domicile avec celle la plus proche de chez nous.
En fin de compte, ce retour à la maison sonne comme un vrai soulagement MAIS avec tout de même une épée de Damoclès au dessus de la tête. Si Malo ne reprend pas suffisamment de poids, c’est retour à la clinique. On prépare les affaires. Autant dire que j’en ai accumulé en 18 jours à la maternité ahah. C’est drôle car même si je suis contente de partir, je quitte ma chambre et le personnel soignant avec un petit pincement au coeur. Dans la voiture, les émotions me submergent. Notamment lorsque nous passons à hauteur du bâtiment de notre centre de fertilité (situé à côté de la clinique)… On réalise le chemin parcouru : c’est bon, nous rentrons à la maison à 3, avec notre bébé miracle !
Comme l’article est déjà suffisamment long, je vous partagerai le retour à la maison et les premiers mois de mon post-partum dans un prochain article !
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Temps de rédaction de l’article : 3 heures
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